Avant de vous chanter ses louanges de cette jolie fleur jaune, il est important que vous connaissiez les différents types de cire. Il en existe 3 : cire minérale, cire végétale ou cire animale.

La plupart des bougies du commerce sont composées de cires minérales comme la paraffine. Très appréciée par les industriels, elle est
très économique et simple d’utilisation. Seul hic ? C'est une matière non-renouvelable dérivée… du pétrole ! Pas franchement cool de brûler du
goudron.

Heureusement, des alternatives plus durables existent avec des cires végétales produites au départ d’huile de végétaux comme le colza, le soja, la noix de coco ou encore le tournesol.

Bien que ces cires soient naturelles et biodégradables, certaines d’entre elles proviennent de l’autre bout du monde. Je ne vous l’apprends pas, les noix de coco ne poussent pas encore sur le Plat Pays. Autre exemple, la culture du soja est l’une des raisons principales de la déforestation en Amérique du Sud. Le colza, fleur jaune emblématique de nos régions, est cultivé en Europe dans un principe de rotation des cultures ce qui lui permet d’avoir un impact environnemental faible. C’était donc une évidence pour les bougies Luce !

Sensibles à leur environnement, les cires végétales sont plus compliquées à dompter car elles demandent un environnement très contrôlé (température de l’atelier, du contenant, de la cire au moment du « coulage »). Tout se joue au degré près ! Ces caractéristiques expliquent un prix de vente plus élevé.

Enfin, la cire animale concerne majoritairement la cire d’abeille. 100% naturelle, elle se caractérise par sa couleur jaune et son odeur miellée. Récoltée à la main, elle est plus rare et donc plus onéreuse.